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L’euro : la réforme ou l’éclatement
20/03/2010 01:23
Dans un communiqué de presse, DLR appelle la France à envisager une sortie de l'euro en cas de refus définitif de l'Allemagne d'assumer ses responsabilités vis-à-vis des pays en difficulté de l'eurozone.
COMMUNIQUE DE PRESSE
Euro : ce qui devait arriver, arrive
Le refus de l’Allemagne d’être solidaire de la Grèce va conduire ce pays à recourir au Fonds Monétaire International.
Ce faisant, Athènes sera obligé à très court terme de sortir de l’euro car il n’est pas possible pour un pays de redresser ses comptes sans rétablir sa compétitivité par la dévaluation.
Alors, c’est l’ensemble de la zone euro qui sera menacée de désintégration…
Aussi, l’heure est-elle venue de la grande explication franco-allemande, que nos gouvernements ont repoussée de manière irresponsable depuis 15 ans. L’Allemagne ne peut plus bénéficier des avantages de l’euro sans en assumer les responsabilités.
De deux choses l’une : soit Berlin tempère sa politique de cavalier seul en acceptant une autre gestion de la monnaie européenne et la relance de sa consommation pour absorber davantage de produits fabriqués par ses voisins, soit la France, l’Italie, l’Espagne,… devront restaurer elles-mêmes leur compétitivité, en sortant à leur tour de l’euro pour rétablir leur monnaie nationale.
Debout la République abordera cette question-clé lors de sa convention thématique sur la compétitivité et le plein-emploi, le 10 avril prochain à l’Assemblée nationale.
Nicolas DUPONT-AIGNAN Député de l’Essonne Président du rassemblement gaulliste Debout la République
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Nicolas Sarkozy, le nouveau Giscard
20/03/2010 01:15
Le verdict définitif ne sera donné qu’en mai 2012 : Nicolas Sarkozy réussira-t-il comme François Mitterrand et Jacques Chirac à se faire réélire pour un second mandat ? Ou alors, connaîtra-t-il plutôt le destin de Valéry Giscard d’Estaing, à savoir ne pas être réélu ?
Il était une fois…
Il était une fois un ministre ambitieux de la Cinquième République à l’ego certain. Assez tôt dans ca carrière, il semblait évident qu’il irait loin. D’ailleurs, il accéda très jeune à de hautes responsabilités ministérielles. Très rapidement, il fut clair qu’il serait candidat pour succéder au vieux lion alors au pouvoir, qu’il soutenait non sans avoir occupé une place assez indépendante au sein de sa majorité, n’hésitant pas à rompre le rang à des moments pourtant importants.
Ce surdoué fit une campagne de « changement dans la continuité » (« rupture tranquille » ?), souhaitant moderniser la vie politique Française, la décrisper. Au premier coup, il fut élu, contre tous les pronostics. Il voulait incarner une nouvelle façon de faire la politique, être un président davantage présent, qui ne serait pas seulement un arbitre un peu lointain et économe de sa parole. Bien au contraire, il n’hésitait pas à gouverner à la place de son premier ministre et de son gouvernement.
Même s’il prétendait s’ouvrir à d’autres en recrutant des ministres hors de sa majorité, le président se renferma rapidement sur son cercle de proches, refusant d’écouter une partie importante de sa majorité qui lui devenait de plus en plus hostile. Assez rapidement, il perdit tout contact avec la réalité et se vit infligé de lourdes défaites lors des élections locales. Pourtant, il pensait être réélu mais il fut battu lors des élections présidentielles suivantes, défaite dont il ne se remit jamais.
Des parallèles frappants
Bien sûr, il y a des différences importantes entre Nicolas Sarkozy et Valéry Giscard d’Estaing et leur parcours n’est pas exactement le même. Pourtant, les parallèles sont frappants. Ils ont tout deux été élus à leur première candidature, alors que les deux présidents qu’ils encadrent ont attendu la 3ème fois pour accéder à l’Elysée. Il est vrai en revanche que sur le fond, il y a de vraies différences entre les deux présidents les plus jeunes de la Cinquième République.
En fait, si le parallèle n’a pas trop de sens sur le fond, il est étonnant de vérité sur la forme. L’omni-présidence de Nicolas Sarkozy n’est absolument pas une nouveauté. Elle n’est que le décalque de celle de Valéry Giscard d’Estaing, qui ne laissait guère plus de place à son Premier Ministre qu’à François Fillon. Alors que François Mitterrand et Jacques Chirac se sont davantage inscrits dans la tradition gaulliste de retenue, ils ont également préféré le soleil des médias, quitte à s’en brûler les doigts…
Du coup, peut-on prédire un destin similaire à l’actuel locataire de l’Elysée, à savoir le refus d’un deuxième mandat par les Français ? L’autisme dont semble faire preuve Nicolas Sarkozy et sa coupure grandissante avec le pays, qui s’amplifie par la déconnexion entre ses discours et ses actes parvient même à faire remonter la cote d’un Parti Socialiste pourtant toujours dominé par des éléphants guère appréciés par les Français et dont on peine à percevoir le projet.
A la base, Nicolas Sarkozy est un fils politique de Jacques Chirac. Mais plus le temps passe, et plus il se rapproche de Valéry Giscard d’Estaing. La conclusion de son aventure pourrait bien suivre le chemin de son inspiration...
Laurent Pinsolle
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Au royaume du Népotisme, UMP, PS, PCF, et FN sont rois ou la République des Dauphins !
19/03/2010 10:29
Le dernier tract du FN semble mettre toute la classe politique dominante en émoi. A DLR, nous ne sommes guère surpris. Nous avions déjà dénoncé en son temps ce népotisme qu’applique la nomenklatura socialo-communo-UMpiste dans la région depuis très longtemps. Et la démonstration ne s’arrête hélas pas au Conseil Régional mais à tous les échelons de
la Nation.
En
haut, où « les fils et filles de » (pour mémoire l’affaire Jean Sarkozy) trouve aisément des postes d’attachés ministériels, de chargés de missions en tous genres, d’attachés parlementaires… Dans les Conseils Généraux où il serait également intéressant de consulter les listings des personnels exerçants… Je pense que la lecture de celui du Conseil Général du Pas de Calais serait tout aussi édifiant que la lecture de celui du Conseil Régional… Au niveau des Etablissement publics de coopérations intercommunales, tels que
la Communauté
urbaine de Lille ou
la Communauté
d’Agglomérations d’Hénin – Carvin, mais aussi les établissements publics de logements ou encore les associations hospitalières, le résultat serait tout aussi édifiant. Quand aux communes n’en parlant pas ! Mais en matière de népotisme, le FN n’a pas de leçon à donner puisqu’il a, lui aussi toujours appliquer cette méthode à chaque fois qu’il a pris le pouvoir comme jadis à Toulon, Orange … Encore une fois le FN qui joue dans le registre du « Faite ce que je dis mais pas ce que je fais », un registre où il excelle tant. Ainsi, comment s’étonner avec une classe politique aussi vérolée que le taux d’abstention augmente à chaque élection. A DLR, nous entendons nous élever contre ce type de pratique en instituant de nouveau la véritable république, celle du peuple, privé depuis trop longtemps d’écoute par cette gangrène politicienne. Nous sommes confiants dans la capacité de
la Nation
à réagir par un sursaut républicain qui ne passera obligatoirement que par DLR et notre « certaine idée de
la France
».
Le comité local
Commentaire de Manéthon (19/03/2010 10:37) :
Aprés la "république des frères" voici celle des "rejetons"... Que reste
t'il de la République du peuple ???
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Commentaire de cimares (19/03/2010 10:58) :
C'est pour cela qu'il faut un pouvoir d'Etat fort dans un
état qui, aulieu de se décentraliser s'est mis à l'heure des
baronies locales.
La République s'est donnée des règles, notamment pour les recrutements
dans la fonction publique territoriale.
Or, il suffit d'pbserver pour comprendre comment ces règles se
trouvent être mises à mal par des comportement bien ancrés dans le Pas de
Calais: On exclut ceux qui répondent aux conditions statutaires et on
privilégie ceux qui n'y répondent pas: Et comme le contrôle de
légalité est bien faible, ce système -contraire à une notion fondamentale
de la république- s'emballe... Et vous obtenez: le Pas de Calais.
Mais ce département ou la région ne sont pas les seul à fonctionner ainsi:
c'est une tendance rencontrée partout avec la prime à la caricature
chez nous.
Lorsque la Chambre régionale des comptes remarque ce type d'anomalies
et désigne des fonctionnaires bénéficiant en tout point de régimes
dérogatoires, il est bien tard et personne ne peut revenir sur un
acquis...
On constate quand même une grande complicité entre acteurs, parce que les
organisations syndicales laissent aussi faire et je n'ai pas
connaissance d'accompagnement, dans cette région, quand un citoyen
directementintéressé se révolte contre un système dont il est lui-même
victime.
Faisons en sorte de respecter les règles existantes, chacun dans son
domaine et vous verrez combien la situation pourrait évoluer.
Le problème, dans cette région du Nord, c'est que tout le système
fonctionne ainsi! un seul a osé le braver: c'est le préfét du Pas de
Calais, après beaucoup de mise en garde, quand il a osé suspendre le maire
d'Hénin: c'était envoyer un signal fort aux pratiques en usage.
Mais le contrôle de légalité en sera-t-il pour autant renforcé ?
lutter contre un système bien ficelé et intégré, contre une culture à la
fois de soumission et de masse n'est pas donné à tout le monde... Et
pour cause, parce que nous serions alors dans une autre logique !
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Commentaire de Caton l\'ancien (19/03/2010 11:48) :
Même pour les concours de la fonction publique territoriale il est permis
d'avoir des doutes quand à certains lauréats de concours quand on
connaît leur capacité intellectuelle. Qui a phagocyté les centres de
gestion de la Fonction publique territoriale ?
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Les leçons du 1er tour des élections régionales
17/03/2010 16:18
Régionales : le gaulliste Dupont-Aignan évoque "la claque" pour Sarkozy
17/03/2010 11h13 GMT - RÉGIONALES-GOUVERNEMENT-PARTIS-DLR-UMP - Nouvelles de France - AFP
PARIS, 17 mars 2010 (AFP) - Nicolas Dupont-Aignan, président de Debout la République, a estimé sur son blog mercredi qu’il faut "vraiment être sourd et aveugle" pour ne pas admettre, à la lumière du premier tour des régionales, "l’ampleur de la claque" pour Nicolas Sarkozy, le gouvernement, et l’UMP.
Dimanche soir, sur les plateaux de télévision, "le déni de réalité qui s’est emparé des leaders de l’UMP était saisissant", écrit le député (ex-UMP) de l’Essonne.
"Comme dans une sorte de secte, chacun récitait des arguments issus d’une fiche transmise sans doute par les courtisans de l’Elysée. Comment des ministres, des responsables politiques plutôt sensés, peuvent-ils, par esprit de cour, oser dire de telles âneries ?", s’indigne-t-il.
"Il n’y avait pas la moindre once de sincérité dans ces propos, dont la mauvaise foi, himalayenne, n’avait d’égal que le ridicule. Ils auraient au moins pu mettre les formes. Mais non, puisqu’il ne faut pas contredire Nicolas Sarkozy, chacun répète en boucle des slogans absurdes", a jugé M. Dupont-Aignan.
"Les Français vont être malheureusement dans l’obligation, dimanche prochain, de réitérer leur vote pour se faire comprendre alors même que, j’en suis convaincu, ils ne votent à gauche que par défaut", selon l’élu francilien, tête de liste (DLR) régional en Essonne.
Il fait un triple constat : "l’échec du parti unique", "celui de la politique menée depuis 2007" lié à la "contradiction entre le volontarisme affiché et le conformisme des décisions gouvernementales", et enfin "l’échec personnel du président de la République" qui, dans la crise "continue de fanfaronner, d’aduler l’argent-roi, en contradiction totale avec un discours de remise en cause des excès du capitalisme".
"Un mauvais président, une mauvaise politique, une mauvaise stratégie électorale, comment imaginer un sursaut sans tout revoir radicalement ? PS, Ecologistes et FN n’ont plus qu’à se frotter les mains !", conclut le député gaulliste.
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Policier tué en Seine-et-Marne : DLR réclame des mesures immédiates !
17/03/2010 16:09
COMMUNIQUE DE PRESSE
Meurtre d’un policier à Villiers-en-Bière : assez des violences contre les forces de sécurité publique !
Le meurtre odieux d’un policier hier soir à Villiers-en-Bière s’ajoute à la liste de plus en longue des violences commises contre les forces de sécurité publique, avec des conséquences parfois tragiques.
J’adresse en mon nom et en celui du rassemblement gaulliste que je préside, toutes mes condoléances aux proches de ce père de famille de 52 ans, abattu en accomplissant son devoir au service de la République et des Français.
Je comprends et partage entièrement la colère et le désarroi de la police nationale aujourd’hui endeuillée, dont les agents risquent leur vie au quotidien sans être suffisamment soutenu par le gouvernement, plus préoccupé d’économies comptables que de la sécurité des fonctionnaires et des citoyens.
Pour lutter contre cette situation inadmissible, je propose deux mesures immédiates :
Le durcissement des sanctions, avec la suppression, refusée encore tout récemment par la Garde des Sceaux, d’une partie des remises de peines automatiques et avec des sanctions plus sévères contre les auteurs de violences faites aux agents de la sécurité publique ;
Ainsi que je n’ai cessé de le réclamer depuis des mois, la fin de la folle politique de non-remplacement d’un fonctionnaire sur deux partant à la retraite (RGPP), qui empêche de plus en plus l’Etat d’accomplir ses missions essentielles d’intérêt général, notamment en matière de police.
Une fois passé le temps du deuil, le gouvernement devra une fois pour toutes s’expliquer sur les terribles conséquences de cette politique.
Nicolas DUPONT-AIGNAN Député de l’Essonne Président du rassemblement gaulliste Debout la République
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